OPINION PUBLIC-SEN FLASH POLITIQUE,CE MERCREDI 12 JUILLET 2023

Le Conseil supérieur de la magistrature s’est réuni, ce mercredi. Plusieurs mesures phares ont été prises.

A l’issue du Conseil supérieur de la magistrature de ce mardi 11 juillet 2023, plusieurs nominations sont notées. Parmi les mesures, il y a la nomination du juge Mamadou Cissé Fall comme président du Tribunal de grande instance de Dakar et l’affectation de son collègue Mamadou Yakham Keïta. Tous les deux ont jugé Ousmane Sonko dans l’affaire Prodac. Le premier en appel et le second en première instance.
Président de la première chambre correctionnelle de la Cour d’appel de Dakar, Mamadou Cissé Fall est nommé président du Tribunal de grande instance de Dakar. Le magistrat qui a jugé Ousmane Sonko en appel dans l’affaire de diffamation l’opposant à Mame Mbaye Niang remplace Moustapha Fall devenu conseiller à la Cour suprême.
Son collègue Mamadou Yakham Keïta, qui a jugé l’affaire en première instance, est affecté à Thiès comme président de chambre à la Cour d’appel.
Siégeant comme assesseur lors du procès pour viol de Ousmane Sonko, la juge Amy Ndao est la nouvelle présidente du Tribunal d’instance de Rufisque.
Le juge Hyppolite Anquediche Ndèye sorti également de l’ombre à cause du dossier Adji Sarr /Ousmane Sonko quitte le tribunal de grande instance de Dakar pour la Cour d’appel de Dakar.
Président du Tribunal de commerce hors classe de Dakar depuis juillet 2020, Malick Lamotte, quitte son poste pour l’administration centrale de la Justice.
La vice-présidente de cette juridiction, Aïssatou Diémé, est promue présidente. Elle a pour vice-président Khady Niang qui était juge dans la même juridiction.
Des changements ont également été notés aux Tribunaux d’instance de Dakar et de Guédiawaye.
Ousmane Racine Thione, précédemment Président de chambre à la Cour d’appel de Dakar, est le nouveau président du Tribunal d’instance hors classe de Dakar. Il remplace Aminata Diène Paye , nommée à l’administration centrale de la Justice.
Précédemment juge au Tribunal de Grande Instance de Kaolack, Papa Abdoulaye Donde est le nouveau Président du Tribunal d’instance de Guédiawaye.
Adji Fatou Diouf, précédemment substitut au Tribunal de Grande Instance hors classe de Dakar, est désormais la Déléguée du procureur près le Tribunal d’instance de Guédiawaye.
La présidente de ladite juridiction, Aissatou Diouf, est promue vice-présidente du Tribunal de Grande Instance de Pikine-Guédiawaye. Voici l’intégralité des nominations.

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Disparition de 300 migrants sénégalais en mer : L’Etat du Sénégal dément

Le ministère des Affaires étrangères dément l’information faisant état de la disparition en mer d’au moins 300 Sénégalais.

« Le Ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur (MAESE) a appris avec étonnement, la publication, sur les réseaux sociaux, d’informations faisant état de la disparition en mer d’au moins trois-cent (300) Sénégalais, candidats à l’émigration, dont les embarcations en provenance de Kafountine (Casamance) faisaient route vers les Îles Canaries. Il ressort des vérifications qui ont été faites, que ces informations, sont dénuées de tout fondement », lit-ont dans le document publié ce mardi soir par les services du département dirigé par Aissata Tall Sall

Toutefois, ledit ministère admet que des centaines de Sénégalais ont été secourus dans les côtes marocaines ces dernières semaines. « Au demeurant, le MAESE tient à préciser qu’entre le 28 juin et le 09 juillet 2023, deux-cent soixante (260) Sénégalais en détresse ont été secourus dans les eaux territoriales marocaines. Le Consulat Général du Sénégal dans la ville marocaine de Dakhla en relation avec les autorités marocaines compétentes a pris les dispositions nécessaires pour leur prise en charge et leur rapatriement dans les meilleurs délais ».

Le N° 2 de Pastef va passer sa première nuit en prison. Birame Soulèye Diop a été entendu par le juge d’instruction du premier cabinet cet après midi.

Le Doyen des juges, Maham Diallo a inculpé le maire de Thiès-Nord  pour actes de nature à compromettre la paix publique, offense au Président de la République, selon des informations de son avocat Me Moussa Sarr.

Le président du groupe parlementaire Yewwi Askan Wi (Yaw) a été placé sous mandat de dépôt par le même magistrat instructeur.

Les quotidiens continuent de relayer la bataille de succession ouverte au sein de Benno Bokk Yaakaar (BBY) pour le choix de son candidat à l’élection présidentielle du 25 février 2024.

‘’Le président Macky Sall […] a du pain sur la planche. Des noms sont avancés, dont ceux d’Abdoulaye Daouda Diallo, de Mahammed Dionne, d’Aly Ngouille Ndiaye et d’Antoine Diome, qui manœuvrent pour le remplacer. D’autres prétendants sont en embuscade pour porter la candidature beige-marron’’, lit-on dans Tribune.

Plus de 10 responsables de l’Alliance pour la République, le parti politique du chef de l’État, sont candidats à la candidature de BBY, selon le même journal.

Bés Bi Le Jour parle d’un ‘’duel fratricide’’ entre Amadou Ba, le Premier ministre, et le président du Conseil économique, social et environnemental, Abdoulaye Daouda Diallo, en vue de la succession de Macky Sall.

 

‘’Amadou Ba et Abdoulaye Daouda Diallo, les deux principales personnalités pressenties, s’affrontent’’, note-t-il.

 

Selon Source A, la direction du Parti socialiste s’est livrée à une violation de ses ‘’textes’’ en matière d’investiture d’un candidat à l’élection présidentielle.

 

‘’Aminata Mbengue Ndiaye [et] certains responsables du parti, dont Abdoulaye Wilane, Ali Mané et Aïda Sow Diawara, ont décidé de donner carte blanche à Macky Sall pour le choix d’un candidat’’, affirme le journal.

 

Source A ajoute que le bureau politique du Parti socialiste, ‘’qui ne s’est pas réuni’’, est l’instance habilitée à choisir le candidat de ladite formation politique ou celui de Benno Bokk Yaakaar.

 

Sud Quotidien est d’avis que ‘’le choix du candidat de la majorité présidentielle […] ne sera pas si simple pour le président de la République, Macky Sall’’.

 

WalfQuotidien évoque ‘’la dépendance des alliés envers Macky Sall’’. ‘’Hors de la coalition Benno Bokk Yaakaar, point de salut […] semble être la conviction des alliés du président Macky Sall’’, écrit-il, estimant que ‘’le moment est propice pour eux de reprendre leur indépendance’’, après que le président de la République a décidé de ne pas être candidat en 2024.

 

‘’Ça ne va plus entre le Bayern et Sadio Mané’’

 

L’Observateur et Le Quotidien se préoccupent de l’investiture d’Ousmane Sonko.

 

‘’Alors qu’Ousmane Soko est frappé d’une inéligibilité pour l’élection présidentielle de février 2024, à la suite de sa condamnation à deux ans de prison ferme, dans le dossier l’opposant à Adji Sarr, Pastef-Les patriotes a décidé de l’investir officiellement, ce que des spécialistes […] qualifient de coup de communication’’, lit-on dans L’Observateur.

 

‘’Le Pastef reste déterminé à présenter Ousmane Sonko à la présidentielle alors que son leader est écarté par l’article L29 du Code électoral’’, signale Le Quotidien.

 

Selon les leaders de Pastef-Les patriotes, l’investiture du candidat Ousmane Sonko est prévue samedi 15 juillet. Mais ils ne disent pas où se tiendra le meeting d’investiture, selon Le Quotidien.

 

Il est question d’émigration clandestine aussi dans les quotidiens.

 

Libération considère Kafountine, une commune située dans le sud du Sénégal, comme un ‘’lieu de départs et de drames’’ pour les migrants.

 

C’est de cette localité que plusieurs embarcations transportant des migrants portés disparus seraient parties depuis plusieurs jours, selon plusieurs journaux.

 

‘’Greenpeace Afrique met en cause les politiques publiques’’, rapporte Kritik’.

 

Des chalutiers venus d’autres pays ‘’détruisent l’environnement, épuisent les stocks de poissons, privent les pêcheurs artisanaux de leurs moyens de subsistance et contribuent à la détresse économique’’, affirme Kritik’ en citant l’organisation non gouvernementale.

 

Ces chalutiers, de cette manière, poussent ‘’de nombreuses personnes à prendre des risques énormes, dans des voyages périlleux, à la recherche d’une vie meilleure’’, dénonce Greenpeace Afrique.

 

‘’La saison des drames’’, titre EnQuête, ajoutant : ‘’Les tragédies se multiplient en mer, et l’annonce de la disparition de 300 migrants provoque l’effroi.’’

 

Selon le même journal, la ministre des Affaires étrangères, Aïssata Tall Sall, a démenti l’information faisant état de la disparition en mer de migrants partis du Sénégal.

 

‘’Ça ne va plus entre le Bayern et Sadio Mané’’, titre Le Soleil.

 

Le club allemand ‘’envisage de se séparer de pas moins de sept [joueurs] parmi lesquels Sadio Mané’’, annonce le journal.

Le parcours de l’ancien ministre Thierno Alassane Sall motive, entre autres raisons, ses camarades de parti de la région de Thiès à l’investir pour briguer les suffrages de ses compatriotes le 25 février prochain.

Les coordinations du parti La République des Valeurs/Rée­wum Ngor de la région de Thiès se sont retrouvées, ce samedi 8 juillet 2023, pour investir leur leader Thierno Alassane Sall, comme candidat à l’élection présidentielle de 2024. «Loin d’être fantaisiste, ce choix est motivé par le parcours exceptionnel de notre président, l’homme politique le plus crédible au Sénégal», note le coordonnateur de La RV/Réewum Ngor de Thiès/Département, Mas­sam­ba Diop. Il fait remarquer que «le président de La République des Valeurs/Rée­wum Ngor, Thierno Alassane Sall, est entré en politique pour une nouvelle gouvernance basée sur une justice impartiale, l’amélioration permanente des conditions de vie des Sénégalais, la promotion du mérite, la diminution du train de vie de l’Etat et la lutte contre la corruption». Et de souligner aussi : «Homme de valeurs et de principes, l’ancien ministre de l’Energie a eu à poser des actes patriotes dans le cadre de ses fonctions gouvernementales.» Entre autres : Il exige «la diminution de son salaire à l’Artp de 14 à 5 millions de francs Cfa», refuse de «signer le contrat Eiffage et Total parce que considérant que le Sénégal y gagne peu».

Mieux, poursuit le coordonnateur de La République des Valeurs/Réewum Ngor de Thiès/Département, «l’actuel député à l’Assemblée nationale démissionne, alors, du gouvernement de Macky Sall pour créer son parti dans le but de solliciter le suffrage des Sénégalais, gagner l’élection présidentielle pour pouvoir conduire les destinées de notre pays en mettant en avant son expérience, sa compétence avérée pour un Sénégal prospère».

Massamba Diop et ses camarades espèrent fermement que «les sénégalais consciencieux de leur avenir éliront Thierno Alassane Sall Président en 2024 pour qu’il puisse changer le destin de notre pays». Avec Thierno Alassane Sall, comme président de la République du Sénégal, «il n’y aura plus de 3ème mandat car notre République sera refondée». Selon eux, avec leur leader, «les pouvoirs du Président seront réduits, la démocratie sera renforcée, les députés de l’Assemblée nationale travaillerons pour l’intérêt du peuple, la justice sera indépendante, la politique de l’emploi pour les jeunes constituera une réalité, la souveraineté alimentaire sera assurée en riz, céréales…, des unités de production et de transformation verront jour pour le bonheur des citoyens, notre artisanat, source d’emplois, connaitra une dimension semi-industrielle ou industrielle, le retour des Chemins de fer sera effectif avec des trains modernes, notre système éducatif réadapté, les plateaux techniques de nos hôpitaux relevés etc.».

Le candidat déclaré, Dr Abdourahmane Diouf, a invité  à ne surtout pas se tromper en choisissant le futur président de la République, qui va remplacer le Président Macky Sall. Ce choix, d’après Dr Diouf,

ique pour les Sénégalais».«En effet, il s’agira de la première élection pour laquelle le Président sortant ne sera pas candidat. Dans ce contexte, il est primordial de comprendre que cette élection ne vise ni à sanctionner, ni à réélire, mais à effectuer un choix éclairé», a dit Dr Abdourahmane Diouf, président du parti Awalé, lors du «Grand oral» qu’il a animé devant les cadres et sympathisants de son parti, ce  samedi, à la salle de la librairie L’Harmattan, sise sur la Vdn, avec comme thème : «Les enjeux cruciaux de l’élection présidentielle de 2024 discutés avec passion.»  Invitant «tous les acteurs politiques à s’engager de la même manière, en participant aux débats publics, en présentant leurs programmes respectifs et en favorisant les échanges entre les candidats», Dr Abdourahmane Diouf de souligner que «cette approche permettra aux électeurs de mieux connaître les différentes personnalités et leurs propositions, afin de faire un choix informé lors du scrutin». «Les invectives lancées entre adversaires politiques devraient être reléguées au passé, laissant place à l’émergence d’une nouvelle ère politique fondée sur le respect mutuel et la primauté des idées à travers des débats programmatiques», suggère-t-il.

Il insiste «également sur l’impératif de briser les chaînes d’un consortium d’intérêts étouffant, qui entravait le progrès et l’épanouissement du pays», tout en indiquant que «seul le triomphe de la génération d’idées, portée par sa propre émulation, audacieuse et désireuse de servir avant tout, pourra permettre de tracer les voies d’un avenir radieux pour le Sénégal».

«Dans les esprits éclairés et les cœurs animés par la quête d’un changement véritable», Abdourahmane Diouf s’affirme «avec un costume imposant, comme l’individu le mieux positionné pour porter les aspirations de toute une Nation, d’être la voix de l’espoir et le guide éclairé qui saurait conduire l’opposition lors de l’élection cruciale de 2024».

Le Dr Abdourahmane Diouf a dit «sa disponibilité et sa volonté de rencontrer et de discuter avec les Sénégalais qu’il aspire à diriger demain durant les tournées Yëg-Yëg de la Coalition Abdourahmane 2024 dans tout le pays et la diaspora».
Abdourahmane Diouf, «dans un élan de sincérité», rappelle «les motivations profondes qui ont animé sa candidature». Il souligne : «Avec une éloquence remarquable, la nécessité de transcender la compétition stérile (concurrence) et de privilégier le dialogue (Concordance) et de bâtir enfin avec cette nouvelle génération d’idées, un Sénégal nouveau qui nous ressemble et nous rassemble.»

Nicolas Ndiaye, Secrétaire général de la Ligue démocratique (Ld), fixe les limites d’une élection «inclusive» 2024 réclamée par l’opposition pour permettre à tous les candidats de pouvoir y participer. S’il milite pour que la prochaine Présidentielle se passe ainsi, M. Ndiaye estime qu’il y a de conditions à remplir pour ceux qui voudraient y prendre part.

Nicolas Ndiaye, patron de la Ligue démocratique (Ld), est pour une élection «inclusive» en 2024, tout en fixant les conditions d’y partici­per. «Main­tenant, nous souhaiterions avoir des élections inclusives suivant les lois et règlements de ce pays. Les élections inclusives ne veulent pas dire tordre la loi et le règlement. Ousmane Sonko a un dossier judiciaire. La Justice est indépendante. Si la Justice lui permet de participer hayroun. Si la Justice ne lui permet de participer à cette élection, c’est dommage. Le jour où en matière de Justice, il y a parti-pris, je pense que nous n’aurons plus de Justice», a tenu à exprimer sa position sur cette question Nicolas Ndiaye, Secrétaire général de la Ligue démocratique (Ld), ce dimanche, lors de la conférence de presse faisant suite à la tenue du Secrétariat permanent élargi à tous les secrétaires généraux de fédération du pays.

Khalifa Sall et Karim Wade dont les candidatures ont été compromises en vue des prochaines échéances électorales ont pu tirer profit de ce dialogue national lancé par le Président Macky Sall, après leur condamnation, a laissé entendre le leader de la Ld, en étant dans une position de retrouver leur éligibilité. «Je crois que ceux qui y ont participé, Khalifa et Karim Wade, ne l’ont pas regretté. Donc, nous pensons que le dialogue est une bonne chose. Quand les gens ne dialoguent pas, qu’est-ce qu’ils font ? C’est la confrontation. Autant le dialogue est la voie de la paix, autant l’absence de dialogue est la voie de la confrontation. Nous nous choisissons la voie de la paix, nous l’avons fait, nous avons dialogué», admet le Secrétaire général de la Ld. «Le dialogue a toujours été une des pierres angulaires de notre Nation. Avant l’indépendance, Senghor et Lamine Guèye étaient à couteaux tirés. Il y a eu même des morts, ils ont décidé de se rassembler pour dialoguer. Et, c’est comme ça qu’ils ont fondé l’Ups. Et ils se sont partagé le pouvoir, malgré leurs dissensions antérieures, Lamine Guèye a été président de l’Assemblée nationale jusqu’à sa mort et Senghor a été le président de la République», souligne Nicolas Ndiaye.

Poursuivant, il rappelle que «Abdou Diouf et Abdoulaye Wade ont dialogué». «En 1988, quand Abdoulaye Wade disait, «on va parler de tout avec un grand T», à ce moment Ousmane Ngom était en prison. Mais malgré tout, ils ont discuté, ils ont dialogué jusqu’à aboutir au code consensuel de 92 où il y a eu passage à l’isoloir, l’identification de l’électeur, etc. Nous sommes allés en 2000 à des élections apaisées, et après que Abdoulaye Wade a gagné, il a envoyé Abdou Diouf à une réunion au Caire pour l’y représenter et Abdoulaye Wade lui-même est allé rendre visite à Madame Coumba Dème, la maman à Abdou Diouf», a rappelé M. Ndiaye. «Le Sénégal a montré, aux yeux du monde, un visage radieux, un visage exemplaire. Autrement dit, avant ça, Abdou Diouf, en 1981, a  appelé les états généraux de l’Edu­cation ; autrement dit notre pays a été tou­jours un pays de dialogue», affirme-t-il.

 

 

 

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