À Madagascar, Siteny Randrianasoloniaiko, qui se présente pour la présidentielle dont le premier tour est prévu le 16 novembre, a décidé de se lancer dans la campagne. Le député de Tuléar adopte ainsi une autre stratégie que celle du reste du « Collectif des 11 » candidats qui a décidé de boycotter l’élection, même s’il se dit « toujours d’accord avec ses revendications ». Cet ancien judoka se justifie par ailleurs sur une phrase polémique concernant les étrangers sur la Grande Île : elle ne visait, assure-t-il, que le président sortant du pays, Andry Rajoelina, qui dispose d’un passeport français.
À Madagascar, ils ne sont désormais plus que dix candidats du « Collectif des 11 » à boycotter la campagne de l’élection présidentielle, dont le 1er tour est prévu le 16 novembre 2023.
Le 22 octobre, Siteny Randrianasoloniaiko a choisi de débuter sa campagne. L’ancien judoka, député de Tuléar, assure qu’il ne tourne pas le dos au « Collectif des 11 », dont il soutient encore les revendications. Pour autant, il affirme ne pas vouloir laisser le président sortant, Andry Rajoelina, aller seul à l’élection.