« On ne peut pas parler de violences mais plutôt de l’indiscipline des supporters » souligne Bira Sène président du CNG. Pour lui, il peut arriver que les gens aient tendance à mélanger les deux, quand un lutteur mobilise entre 2.000 et 2.500 supporters voulant tous les faire entrer dans le stade cela cause beaucoup de problèmes.
Dans cet entretien Bira Séne aborde également les face à face et les open presse ; les moyens déployés par le CNG pour lutter contre ces débordements dans les stades.
Le président du CNG souligne également que le règlement intérieur doit être respecté. Il faut aussi que les supporters comprennent que la violence ne règle rien, ils doivent être conscients de leurs faits et gestes.
Entretien avec Publicsn.
Maimouna Niang