Il faut avoir les idées en…bas de la culotte pour penser à violer un mineur. Et pourtant c’est ce que les deux coxeurs El Hadj et Modou de la gare routière des baux maraichers ont fait vivre à S. CH. Niass pendant plusieurs mois rapportent nos confrères du quotidien les Echos.

Le pot aux roses n’aurait jamais pu être découvert si las des assauts de ses agresseurs, S. CH. Niass n’avait pas alerté les vigiles en faction sur le lieu. Ce jour là, pris par leurs démons d’assouvir leur déviance sexuelle, les deux coxeurs convoquent le jeune homme derrière le mur de la gare. En cours de route, celui-ci se démêle et fait appel à ses cordes vocales.

Heureusement pour lui, les vigiles viennent à son secours. Et après explications, tout ce monde est livré aux éléments de la police de Pikine. Les deux accusés reconnaissent les délits qui leur sont reprochés. S. CH. Niass raconte qu’il a été à plusieurs reprises la « cibles  » des deux coxeurs avec qui, il a entretenu plusieurs relations sexuelles.

Ces derniers lui remettaient une somme de 200 FCFA pour payer son silence.

Ils sont ainsi déférés au parquet et poursuivis pour les délits d’acte contre nature, viols répétés et actes de pédophilie sur un mineur de 15 ans.

Samba SY.