L’histoire se revit comme aux événements de Mars, qui ont fait 14 morts, sans compter des énormes pertes économiques.
En effet, des scènes de violences ont été notées un partout au Sénégal, des jeunes déterminés à affronter les forces de défense et de sécurité. Des édifices publics saccagés, des destructions de biens appartenant à autrui, des attaques au domicile de personnalités de l’Etat.
Neuf (9) morts ont été confirmés par le ministre de l’Intérieur, ajoutés aux trois (3) morts lors du procès du 16 mars 2022 et des 14 morts au mois mars 2021, le bilan grimpe à 26 morts, pour des accusations de viols et menaces de morts qui ont fondu comme du beurre au soleil.
Le pays est toujours sous haute tension, les activités économiques sont paralysés , l’internet au ralenti. Finalement, le Sénégal est grand perdant.
Lala RASSOUL