ACTUALITES PUBLIC SN,CE LUNDI 10 JUILLET 2023
Dans sa livraison de ce lundi 10 juillet 2023, le journal L’Observateur a fait savoir qu’une bagarre sanglante entre gardes du corps de l’opposant politique Ousmane Sonko et des gangsters a éclaté à la prison de Mbour.
Une « violente bagarre » est survenue entre des gardes du corps de Ousmane Sonko, placés en détention à Mbour depuis mai dernier et « un gang de détenus », évoque le quotidien d’informations générales du Groupe Futurs Médias (GFM). Et de préciser : « Pour une histoire de cuillère, ils se sont affrontés jusqu’au sang », affirme le journal, ce lundi.
Après ses propos tenus la semaine passée lors de la conférence de presse de Yewwi, mettant en garde les candidats de l’Apr qui devraient, selon lui, faire attention à ne pas se faire « empoisonner » par Macky Sall, Birame Soulèye Diop, numéro 2 de Pastef est entre les mains de la justice. Le journaliste Daouda Mine analyse sa situation.
Dans une partie de l’entretien exclusif accordé à Afrik-Foot.com, l’ex-attaquant ivoirien, Bonaventure Kalou, explique les raisons de son engagement politique en rappelant qu’il n’avait aucune ambition présidentielle.
Après 15 années de carrière, Bonaventure Kalou a raccroché les crampons en 2010 suite à des essais non concluants à Crystal Palace. Le natif de Oumé se consacre désormais à sa toute nouvelle vie de maire de sa ville d’origine, Vavoua. Dans cette seconde partie de l’entretien exclusif accordé à Afrik-Foot.com, l’ex-Eléphant explique les raisons de son engagement politique en rappelant qu’il n’avait aucune ambition présidentielle.
La provenance de son engagement politique
« J’ai voulu m’engager parce que, quand on a joué au football à un certain niveau, on a un nom qui va avec. J’ai voulu m’engager surtout pour mes parents de Vavoua, pour être en quelque sorte un lobbyiste pour qu’ils puissent obtenir certaines choses. Je pense parfois avoir atteint ces objectifs-là, d’autres fois non. Mais la volonté y est. »
Les influences d’une telle reconversion
« Non. Pour être honnête, je n’y avais jamais pensé, ce n’était même pas dans mes plans de devenir maire, et qui plus est à Vavoua. Quand j’y suis allé, l’état dans lequel se trouvait la ville m’a poussé à m’engager pour obtenir certains avantages pour cette ville là. Rien d’autre. »
Son expérience de footballeur et la politique sportive dans sa commune
« J’essaye d’aider toutes les initiatives liées au sport. Je sais l’importance que peut avoir le sport dans le développement personnel de chacun, dans l’épanouissement de la jeunesse. Emmener cette jeunesse là à s’éloigner de certains vices grâce au sport. Ce sont entre autres choses sur lesquels on travaille. Il n’y a pas beaucoup de moyens mais on essaye de faire avec. »
Ambition présidentielle comme Georges Weah
(Rires) Les destins sont uniques et dépendent des aspirations de chacun. Je me suis engagé en politique, pas pour atteindre ce niveau là. Je suis maire de ma commune, c’est déjà beaucoup de travail. Je ne me rase pas chaque matin en pensant devenir président de la république (rires). Mon aspiration est qu’après mon ou mes mandats de maire, on note un changement dans la ville de Vavoua. Sans plus.
Six personnes ont été tuées et une blessée dans une attaque au couteau ce lundi matin dans une école maternelle, dans le sud-est de la Chine. L’assaillant présumé âgé de 25 ans a été arrêté.
L’attaque s’est produite ce matin à 7h40, heure locale, selon le compte Wechat du bureau de la sécurité publique de Lianjiang -dans la province du Guangdong, au sud-est du pays.
Des images de l’assaillant en pantalon noir et tee-shirt clair, poussé par les agents dans un véhicule de police, ont circulé sur les réseaux sociaux. Le suspect est âgé de 25 ans, il répond au nom de Wu – en Chine ce sont les prénoms qui permettent de distinguer les individus et ces derniers ne sont pas révélés tant que l’affaire n’est pas jugée. On ne connait pas les motivations du meurtrier présumé, mais selon les forces de l’ordre, il s’agit bien de « blessures intentionnelles ».
De nombreux précédents
Ces agressions en milieu scolaire défraient régulièrement la chronique en Chine. En août dernier, deux personnes ont été tuées et six autres blessées dans l’attaque au couteau d’un jardin d’enfants de la province du Jiangxi, dans le sud-est de la Chine, là encore. Au printemps 2021, deux enfants sont morts et seize autres personnes ont été blessées dans l’attaque à l’arme blanche d’un jardin d’enfants de Beiliu, dans la province du Guangxi, au sud du pays.
Au total, une centaine d’enfants et d’adultes ont été tués et des centaines d’autres ont été blessés au cours de la dernière décennie dans des attaques apparemment non coordonnées de « loups solitaires » dont les motifs ne sont pas clairs. Les assaillants, en majorité des hommes, ont été tués, exécutés après jugements, ou ont mis fin à leurs jours. À chaque fois, des appels sont lancés pour tenter de comprendre les racines du mal et les causes profondes de ces actes de violences.
L’institution du statut de chef de l’opposition est l’un des points d’accord importants du Dialogue national. Après que son mode de désignation a été arrêté par la commission politique desdites concertations, ses prérogatives ainsi que les avantages attachés à sa fonction ont été précisés dans le projet de loi devant matérialiser cette nouveauté dans la vie politique et institutionnelle au Sénégal.
D’après Bés Bi, qui a consulté le texte, le chef de l’opposition a presque rang de président d’institution. À ce titre, détaille le journal, il a droit, notamment, à un passeport diplomatique, une immunité diplomatique et consulaire lorsqu’il séjourne à l’étranger, un service de sécurité, un budget conséquent «pour assurer le bon fonctionnement de ses services» et des locaux.
Le projet de loi indique que le chef de l’opposition est «invité à toutes ls cérémonies officielles de la République et traité avec les égards et honneurs dus à son rang». Il peut faire partie des délégations qui accompagnent le chef de l’État lors de ses déplacements à l’intérieur ou à l’extérieur du pays. Il est associé à l’accueil des hôtes de marque de la République, est consulté ou reçu par le Président chaque fois que de besoin et peut être envoyé par ce dernier en mission au Sénégal ou à l’étranger.
Le mandat du chef de l’opposition coïncide avec celui du président de la République. En cas d’empêchement définitif, de démission ou de décès, il est remplacé par le successeur désigné par son parti. S’il rejoint la mouvance présidentielle en cours de route, il perd automatiquement son statut. Et dans ce cas, le candidat arrivé troisième prend le relais.
Si ce schéma avait cours avant la présidentielle de 2019, Idrissa Seck, deuxième après Macky Sall, serait le chef de l’opposition, juste après le scrutin. Mais puisqu’il avait rejoint par la suite le camp présidentiel, il aurait ensuite perdu ce statut au profit de Ousmane Sonko, arrivé troisième lors de l’élection.