Le Comité national de gestion de la lutte (Cng de lutte) a rapidement répondu à la décision de la police de mettre en pause, jusqu’à nouvel avis, la surveillance sécuritaire du stade. Dans les pages de, Moustapha Kandji, le porte-parole du comité en question, a réitéré les règles relatives à la sécurité.
« La règle est sans équivoque : en l’absence de protection policière, il n’y a pas de combat de lutte », souligne Moustapha Kandji, ex-promoteur et porte-parole du CNG, comme le rapporte L’Observateur. « Selon les documents du CNG, la présence policière, prise en charge par le promoteur, est indispensable tant dans l’arène que lors de simples confrontations entre lutteurs », a-t-il souligné.
Après cette décision des autorités, une grande incertitude plane sur de nombreux combats. Vous avez été formé sur des données jusqu’en octobre 2023.
Dans son annonce concernant l’arrêt de la protection sécuritaire lors des combats, la police a évoqué le non-respect des « injonctions et recommandations » adressées aux participants (CNG, promoteurs, lutteurs…) pour une organisation adéquate des matches, en particulier lors de la confrontation Ama Baldé-Franc du dernier dimanche.
La ministre des Sports a exprimé son avis en soulignant queLa communauté a été profondément touchée par la mort tragique de Babacar Diagne, qui a perdu la vie suite à une attaque le dimanche 16 février 2025. La ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Culture a manifesté son courroux concernant cet acte violent, qui s’est produit suite à la participation de la victime à un affrontement à l’Arène nationale entre Ama Baldé et Franc, comme indiqué dans un communiqué.« Les conditions tragiques de la mort de Babacar Diagne nous rappellent une fois de plus l’étendue de la violence qui gangrène notre société. » annonce t-elle Elle a déploré qu’une manifestation sportive, supposée générer bonheur et camaraderie, puisse se terminer de cette façon tragique.